Discussion:Amnesty International

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Copyright 2003[modifier le code]

copyright ( http://www.amnestyinternational.be/doc/rubrique.php3?id_rubrique=58 ) - Panoramix 30 jun 2003 à 18:36 (CEST)

Copyright[modifier le code]

Je rappelle que cette page est sans doute copyrightée. Vincent 11 oct 2003 à 00:29 (CEST)

Quelqu'un veut il contacter Amnesty car je suis a peu près sur qu'ils accepterons de diffuser leur présentation sous un format libre non? Greatpatton 11 oct 2003 à 10:19 (CEST)

Un ip anonyme vient de remettre du contenu sous copyright. J'ai écrit à Amnesty pour avoir leur avis. Yohan 15 mar 2004 à 21:46 (CET) 1.2.5 Actions Amnesty international propose différents moyens d'action comme l'envoie de lettre notamment.Des actions en ligne sur le site de la section française permettent d'agir de manière rapide et efficace.On y trouve aussi les adresses des différents groupes en France que l'on peut rejoindre près de chez soi pour agir concrètement.

Pertinence[modifier le code]

« Il y existe une controverse : l'Amnesty croit que l'IVG est un droit fondamental [1]. De plus, elle fait la promotion de la normalisation de l'homosexualité dans les instances publique »

Est-ce vraiment pertinent? L'article ce base sur des sites catholique et anti-avortement pour dire qu'il y a contreverse. Je doute de la pertinence de tel propos... --Philippe317 [allo?] 21 mai 2007 à 18:29 (CEST)[répondre]

La question se pose effectivement. Pourquoi ne pas demander à l'asso directement ?--Shlublu bla 21 mai 2007 à 22:07 (CEST)[répondre]
J'ai aussi eu des doutes lors de l'ajout, mais comme ADM est un contributeur que je juge de qualité, j'ai laissé. Il vaudrait mieux prendre contact avec lui pour voir ses arguments. Sanao 22 mai 2007 à 00:34 (CEST)[répondre]
Que pensez-vous d'une reformulation du genre « Amnesty international défend également des droits parfois controversés, notamment dans les milieux religieux, tels que le droit à l'avortement. » En revanche concernant l'homosexualité, je trouve que cet ajout par ADM est tout à fait malvenu, Amnesty n'a fait que critiquer une loi anti-homosexuels en Pologne si j'en crois l'article indiqué, il ne s'agit absolument pas de « promotion de la normalisation de l'homosexualité dans les instances publiques ». --Kremtak (discuter) 23 mai 2007 à 19:33 (CEST)[répondre]
En réalité, AI défend les droits humains tels que définis par les traités de droit internationaux. En tant que telle l'asso n'a pas d'opinion politique ni d'opinion religieuse. On devrait peut-être s'en tenir là, en expliquant que lorsque le droit international va à l'encontre d'us, de coutumes, de croyances, ou d'opinion locale, il peut y avoir antagonisme. --Shlublu bla 23 mai 2007 à 21:23 (CEST)[répondre]
Justement non, l'ajout d'ADM montre qu'Amnesty va au-delà du droit international puisqu'ils ont voté (en interne, dans la branche anglaise) la condamnation de l'avortement (qui n'est pas régi par le droit international, autant que je sache). --Kremtak (discuter) 23 mai 2007 à 21:27 (CEST)[répondre]
Salut Kremtak
J'ai regardé moins rapidement l'article de lifenews cité en sources (voir lien dans l'article)
  • D'après lifenews, il semble effectivement que les Nations Unies n'ont pas défini de droit relatif à l'IVG: Thanks to Bush administration officials, the United Nations has not ratified documents declaring abortion an international right and the president will likely work to prevent that as long as he is in office.. Maintenant, j'aimerais plus d'information avec une source contradictoire, lifenews n'étant pas neutre (il se revendiquent "pro-life", tu peux le voir dans cet article, notamment à la fin et dans le 'Thanks to Bush'). Sans avoir défini de droit, les nations unies peuvent avoir défini des résolutions.
  • On lit également However, the AI documents say they will encourage NGOs who lobby at the UN to press for an international document saying abortion is a human right.. Ca laisse supposer que AI aurait quelque peu "anticipé" par son vote ce qu'elle presssent du droit international. Ce qui irait complètement dans le sens de ce que tu dis (l'ajout d'ADM montre qu'Amnesty va au-delà du droit international).
  • Cette déclaration le laisse penser également : In the proposal for members to consider, AI says abortion should become an international right and pro-life laws toppled in nations that have them.
  • Par contre, du coup, j'ai peine à comprendre ceci : Currently, Amnesty International says it “takes no position on whether or not women have a right to choose to terminate unwanted pregnancies; there is no generally accepted right to abortion in international human rights law.”. C'est en contradiction avec le vote qui est relaté, puisqu'ils affirment ne pas prendre position d'après ce même article. Quelque chose n'est pas clair je trouve.
Je regarde maintenant le site d'AI (fr): je n'ai rien trouvé quant à la position d'AI sur l'IVG. Le manifeste n'a pas été modifé depuis la dernière fois que je l'ai vu et il n'en est pas fait mention : FAQ AI FR. La fonction rechercher ne m'a rien donné non plus.
Le site mondial ne me donne pas plus de résultats. J'ai donc téléchargé le rapport annuel 2007 de l'asso, en version française. Les recherches sur "IVG", "Interruption volontaire de grossesse", "avortement", ont donné 0 occurences.
Le test Google "amnesty international vote abortion" ne me donne que des liens vers des sites, blogs, etc, opposés à l'avortement. J'aimerais bien ne serait-ce qu'une source neutre ou pro avortement, à défaut de source officielle AI.
Je suis embêté, je ne sais que te dire si ce n'est que j'aimerais y voir plus clair. --Shlublu bla 23 mai 2007 à 23:40 (CEST)[répondre]
Petit ajout : la recherche Google "amnesty international avortement" me donne le même type de résultats. Qui plus est, je n'y vois que du conditionnel. Amnesty "pourrait se prononcer", "serait favorable"... tandis qu'il n'y a rien sur les site de l'asso. Décidément, un truc cloche, ça ne me va pas. Je vais peut-être leur envoyer un mail pour avoir une réponse claire (mais pas ce soir : dodo). Bye, --Shlublu bla 23 mai 2007 à 23:46 (CEST)[répondre]
✔️ Ca me titille cette histoire. Mail envoyé au webmaster, finalement. En attendant leur réponse, je modifie l'article de la façon suivante :
Il y existe une controverse : l'Amnesty croit que l'IVG est un droit fondamental [1]. De plus, elle fait la promotion de la normalisation de l'homosexualité dans les instances publiques. [2]
devient
Il existe une controverse : Amnesty se voit reproché une prise de position quant à la reconnaissance de l'IVG en tant que droit fondamental[1]. Elle se voit également reprochée la promotion de la normalisation de l'homosexualité dans les instances publiques [2]. (liens [1] et [2] conservés à l'identique, sous forme de références).
Ce n'est pas parfait, mais c'est toujours mieux que ce qu'il y a actuellement. Je vous propose :
* De discuter cette modification, en attendant la réponse d'AI. Elle peut sans aucun doute être améliorée. (Je précise que je ne prendrai pas mal le fait que vous me révertiez, modifiez, etc. Normalement c'est inutile de le préciser, mais bon, ainsi ce sera dit)
* De supprimer le bandeau désaccord de pertinence (je l'ai laissé bien sûr) si vous estimez que cette modification est suffisante.
Merci, et bonne nuit, cette fois. --Shlublu bla 24 mai 2007 à 00:26 (CEST)[répondre]
Très bien, nous verrons ce que raconte le webmaster. En attendant, a la lecture de differents articles sur la question, toujours sur ce site anti-avortement lifenews.com ou lifesite.net, il apparait que 1) cette "politique" pro-avortement de AI n'est pas officielle (en tout cas pas mediatisee) 2) AI ne considere pas l'avortement comme un droit humain fondamental : « While the agency has said they are not supporting abortion as a human right but simply addressing "particular circumstances" surrounding rape situations or endangerment to women's health, in fact the policy calls for a moratorium on all criminal penalties for abortion. » (dans ce texte, il faut donc distinguer ce que dit AI et ce qu'interprete l'auteur de cet article de lifesite.net ). Je n'ai moi non plus pas trouve d'element sur cette question directement en provenance d'AI, mais uniquement par le biais de sites anti-avortement. Sinon, que pensez-vous de la phrase concernant les homosexuels? Je pense qu'on peut purement la supprimer. --Kremtak (discuter) 24 mai 2007 à 18:41 (CEST)[répondre]
Ca sonne déjà mieux Émoticône sourire. De mon côté, c'est les termes « Amnesty croit que (...) la promotion de la normalisation  ». Sans compter que, à ma connaissance, Amnesty n'a jamais fait de promotion de ce genre, elle dénonce en revanche les actes contres les homosexuels ainsi que la discrimination (fondé sur les préférences sexuelles ici). Ce dernier point me parait non-pertinent ou alors orienté d'une façon peut convaincante (dans le sens où la promotion n'est pas démontré) et devrait être supprimé --Philippe317 [allo?] 24 mai 2007 à 21:24 (CEST)[répondre]
Je partage ton avis Philippe. Sinon, oui, c'est tout à fait ça Kremtak. Et je suis d'accord pour supprimer la phrase en question. --Shlublu bla 25 mai 2007 à 11:53 (CEST)[répondre]
Bon, je l'ai supprimée puisque ca semble convenir a tout le monde --Kremtak (discuter) 25 mai 2007 à 21:34 (CEST)[répondre]
Ok pour moi maintenant, c'est parfait Émoticône sourire --Philippe317 [allo?] 26 mai 2007 à 13:32 (CEST)[répondre]
Merci pour tes dernières modifs Kremtak ! Il y avait dans la dernière contribution un côté orienté que je ne savais comment traiter. --Shlublu bla 28 mai 2007 à 15:52 (CEST)[répondre]
De rien, c'est tout de même étonnant de voir comment certains parviennent à donner un ton péjoratif à quelque chose qui n'a rien de négatif! --Kremtak (discuter) 28 mai 2007 à 16:00 (CEST)[répondre]
Quelque chose me dit que l'on en a pas fini avec cet article... --Shlublu bla 28 mai 2007 à 16:02 (CEST)[répondre]


« Récemment, Amnesty a été critiquée pour son traitement inégal des dictatures comme le Soudan et l'Arabie saoudite et des pays démocratiques comme le Canada, les États-Unis et l'Israël. [1] »

Je vais encore jouer les troubles fêtes, mais le fait qu'un site (judeoscope.ca) d'une objectivité et notoriété discutable écrive une critiques sur Amnesty ne me parait franchement pas pertinent pour être mentionner dans l'article. --Philippe317 [allo?] 29 mai 2007 à 16:47 (CEST)[répondre]
Ah, décidément, toujours le même problème. As-tu pu trouver des sources contradictoires ? C'est vraiment agacant ces sourcages engagés... --Shlublu I-V6 29 mai 2007 à 16:50 (CEST)[répondre]
Après la lecture de l'article anglais, il s'avère que ces critique ne sont pas récente. L'article résume bien la chose: « Criticism of Amnesty International may be classified into two major categories: accusations of selection bias and accusations of ideological bias ». Ce qui au fond n'est pas si étonnant: en règle général un rapport d'Amnesty contre un pays n'est jamais accueillie les bras ouvert par ce dernier. Une section critique devrait être ajouter... (sans compter l'ajout que la branche maçonnique canadienne soutient amnesty me parait bien discutable et n'a surement pas été fait sans arrière pensée...) --Philippe317 [allo?] 29 mai 2007 à 16:59 (CEST)[répondre]
La source première de cette critique (concernant la comparaison d'Israel et du Soudain) est NGO Monitor qui a quand même pour objectif de « end[ing] the practice used by certain self-declared 'humanitarian NGOs' of exploiting the label 'universal human rights values' to promote politically and ideologically motivated anti-Israel agendas ». Bof bof quand même niveau neutralité... --Philippe317 [allo?] 29 mai 2007 à 17:10 (CEST) Sinon j'ai remarqué que ces ajouts discutables émanaient de ADM... --Philippe317 [allo?] 29 mai 2007 à 17:10 (CEST)[répondre]
J'aime bien ton idée de la section critiques. Finalement, c'est plus neutre : en gros "les critiques existent, ce sont des réalités, en voici une liste"...--Shlublu I-V6 29 mai 2007 à 17:38 (CEST)[répondre]
Oui. Car la elles sont un peu fragmentées dans tous l'articles Émoticône sourire --Philippe317 [allo?] 29 mai 2007 à 18:12 (CEST)[répondre]

Financement[modifier le code]

Je m'étonne du fait que le montant indiqué l'est en livres sterling, ne serait-il pas judicieux de l'indiquer en euros?--81.245.142.117 8 novembre 2007 à 16:17 (CET)[répondre]

Critique Chinoise[modifier le code]

Amnesty International à fait un Rapport sur les événements du Tibet Dans ce rapport, de nombreuses informations sont issues de "témoins occulaires" sans plus de précision. Un certains nombre de faits décrits dans ce rapport ne sont pas cohérents avec les nombreux témoignages de touristes occidentaux présents sur place, et le témoignage de James Miles, seul journaliste présent à Lhassa :

  • "Le 12 mars, ... les journalistes et les touristes de la ville et des environs ont commencé à être évacués. De nombreux sites web ont été bloqués, des émissions de télévision censurées et les réseaux de téléphonie mobile et d'accès à Internet auraient également été coupés ou restreints." Selon James Miles et les nombreux touristes présents, les évacuations n'ont eu lieu que le 18 mars, en particuliers de nombreux touristes étaient présent le 14 et le 15 au plus fort des émeutes, et il restait une centaine de touristes le 18 mars. D'autre part les blogueurs occidentaux ont mis en ligne textes et photos, internet n'était pas bloqué.
  • "Le 14 mars, les manifestations de Lhassa ont dégénéré. ...... Les forces de sécurité auraient dans certains cas répondu aux mouvements de protestation en faisant usage d'une force excessive, notamment en rouant de coups des manifestants et en tirant à balles réelles pour disperser la foule." Aucun témoin occidental n'a vu ce type d'intervention le 14 mars après le début des violences. Les forces de l'ordre se sont replié et ne sont pas intervenues.

Ces incohérences sèment le doute sur la fiabilité de ces informations. Les affirmations de Amnesty International sont elles basées sur des témoignages fiables et indépendant du conflit ? Si oui, pourquoi ces témoignages ne sont ils pas cohérents avec ceux des témoins occidentaux présents sur place :

Journaliste et touristes occidentaux présents à Lhassa le 14 mars[modifier le code]

J'ai repris l'extrait cité par Aacitoyen la page de l'article AI et l'ai placé sur Troubles au Tibet en 2008. Il a lui même modifié l'extrait en question, j'ai donc ajouté ici la totalité de l'extrait qu'il a lui même inséré dans troubles au tibet. --Rédacteur Tibet (d) 25 juin 2008 à 19:58 (CEST)[répondre]

Amnesty est accusée par Bakchich.info d'avoir des relations avec la société Total[modifier le code]

L’article de M. Christophe publié sur Bakchich.info et repris en partie sur Wikipedia contient une succession d’affirmations erronées qu’Amnesty International France (AIF) ne peut pas laisser sans réponse. L’auteur affirme que la qualité du dialogue entre AIF et Total s’est «considérablement élevée» lorsque Francis Perrin a été élu président d’AIF, et que ce dernier a fait passer les intérêts de la publication à laquelle il collabore - Pétrole et Gaz Arabes - avant ceux de l’association dans laquelle il milite depuis 32 ans. Il prétend également que la relation de dialogue entre AIF et Total est déséquilibrée du fait de l’intérêt financier que représente Total pour cette publication, mettant profondément en cause la déontologie de journaliste de Francis Perrin. M. Christophe affirme encore que ce serait pour cette raison qu’AIF ne manifeste pas contre la présence de Total en Birmanie. Il n’avance cependant aucun élément sérieux pour soutenir ses thèses, alors que chacun sait à AIF l’importance de la contribution de Francis Perrin depuis les années 1980 pour développer la recherche d’AI et l’action militante d’AIF envers les acteurs économiques, y compris les compagnies pétrolières.

Comme avec les Etats et d’autres acteurs politiques, Amnesty International (AI) a développé, depuis près de 30 ans, une tradition de dialogue avec des entreprises. Les relations d’AIF – comme d’autres sections nationales d’AI - avec plusieurs entreprises dans différents secteurs d’activité s’inscrivent dans cette politique globale qui n’exclut évidemment pas la critique et la dénonciation. Ce fut ainsi le cas pour Axa en France pour leurs investissements dans les mines auti-personnel et les bombes à sous-munitions. Par ailleurs, plusieurs rapports ou documents publics d’AI ont clairement dénoncé l’implication des compagnies pétrolières ou minières, des sociétés de sécurité, des entreprises liées à Internet et au secteur des télécommunications et bien d’autres encore, dans des violations des droits humains dans certains pays. Cela suppose, bien évidemment, qu’AI dispose d’éléments vérifiés par elle-même, c’est-à-dire par notre siège international.

Certes, AIF a eu des échanges avec Total notamment au sujet de la Birmanie, du Soudan et du Nigeria et du projet de normes des Nations unies sur les entreprises et les droits humains. Mais, contrairement à ce qu’explique M. Christophe, il n’y a ni spécificité, ni relation privilégiée avec Total. Il semble que l’auteur s’est tellement focalisé sur cette situation qu’il en a oublié de considérer la stratégie générale dans laquelle s’inscrit ce dialogue.

M. Christophe cite une phrase extraite d’une discussion longue de deux heures et demie qu’il avait eue à sa demande avec Francis Perrin, alors président d’AIF, et qui remonte à … janvier 2003 – ce qu’il se garde bien de préciser aux lecteurs de Bakchich.info. Au cours de cet entretien, le fonctionnement d’AIF lui avait été expliqué. Il lui avait ainsi été très clairement rappelé que ce n’est pas AIF, pas plus qu’une autre section nationale d’AI, qui détermine les priorités de travail et d’action de notre mouvement ou qui conduit notre activité de recherche, mais notre secrétariat international, dont le siège est à Londres. Aucun président d’AIF ne pourrait donc peser en faveur de telle ou telle entité comme le suggère l’article. Toute la thèse de l’auteur s’effondre et il n’avait d’ailleurs, à l’époque, pas trouvé grand-chose à répondre sur ce sujet.

L’attitude des organisations non gouvernementales (ONG) par rapport à la présence d’entreprises étrangères dans tel ou tel pays dont le régime viole les droits humains est très variable, y compris en France. La politique constante d’AI - et pas seulement d’AIF - est de ne pas demander à une société, quel que soit son secteur d’activité, d’investir ou de ne pas investir dans un pays ou de quitter ce pays. L’exemple du Soudan, pays dans lequel les violations des droits humains sont également très graves, en est une bonne illustration. Certaines ONG font pression pour que les sociétés étrangères n’investissent pas dans ce pays ou, si elles y sont déjà, désinvestissent. D’autres associations, et pas seulement AIF, ont adopté une politique différente privilégiant un dialogue avec des investisseurs, y compris Total qui envisage maintenant de reprendre ses activités d’exploration dans le sud du Soudan, pour peser sur son propre comportement sur place. Le sujet est très complexe et M. Christophe a parfaitement le droit de préférer la première option à la seconde. Mais il lui appartenait alors d’informer complètement ses lecteurs en évoquant la politique générale d’AI qu’il connait, au lieu de relier de façon gratuite, arbitraire et sans aucune démonstration le comportement d’AIF à l’activité professionnelle de l’un de ses membres.

L’auteur met également en cause notre spécialiste sur la Birmanie, Mireille Boisson, en indiquant qu’elle « prétend défendre » Aung San Suu Kyi. AI défend depuis longtemps Aung San Suu Kyi ainsi que les autres prisonniers d’opinion dans ce pays et de nombreuses autres victimes de la répression et des autres violations très graves des droits humains. Mireille Boisson est à AIF la cheville ouvrière de ce travail très important et de qualité, et elle bénéficie de toute la confiance de notre section ainsi que de notre siège international avec lequel elle est en étroit contact.

AIF soutient Francis Perrin et Mireille Boisson, militants de longue date qui ont apporté et continuent d’apporter énormément à notre mouvement, face à ces accusations infondées et gratuites, et se réserve de donner à l’article de M. Christophe les suites judiciaires appropriées.

A lire également, le droit de réponse de Geneviève GARRIGOS Présidente Amnesty International France, publié sur le site de bakchich :
--Aacitoyen (d) 14 juillet 2008 à 17:19 (CEST)[répondre]


Droit de réponse d’Amnesty France lundi 14 juillet

Après la publication fort commentée de notre article Total travaille son Amnesty, la section française de l’ONG nous a fait parvenir ce droit de réponse, qu’en garçons bien élevés, nous publions.

Amnesty International France (AIF) ne peut pas laisser sans réponse les accusations de M. Christophe sur les liens qu’entretiendrait notre organisation avec Total. Prétendre que ces liens se seraient renforcés lorsque Francis Perrin a été élu président d’AIF, que celui-ci a fait passer les intérêts de la publication à laquelle il collabore - Pétrole et Gaz Arabes - avant ceux de l’association qu’il présidait, que le dialogue entre AIF et Total est déséquilibré du fait de l’intérêt financier que représente Total pour cette publication, ou encore que ce serait pour cette raison qu’AIF ne manifeste pas contre la présence de Total en Birmanie, est insupportable lorsque l’on sait combien Francis Perrin a contribué à développer la recherche et l’action d’Amnesty International envers les acteurs économiques, y compris les compagnies pétrolières.

Depuis près de 30 ans, Amnesty International (AI) a développé une tradition de dialogue avec les entreprises. Les relations d’AIF avec plusieurs entreprises dans différents secteurs d’activité s’inscrivent dans cette politique globale qui n’exclut évidemment pas la critique et la dénonciation, y compris lorsque sont en cause des compagnies pétrolières. Mais cela suppose qu’AI dispose d’éléments vérifiés par son siège international.

AIF a eu des échanges avec Total notamment sur la Birmanie, le Soudan ou le Nigeria. Contrairement à ce qu’écrit M. Christophe, il n’y a ni spécificité, ni relation privilégiée dans ce dialogue.

M. Christophe cite une phrase extraite d’une discussion longue de deux heures et demie qu’il avait eue avec Francis Perrin en… janvier 2003. Au cours de cet entretien, il lui avait été expliqué que les axes de travail et d’action d’AI et son activité de recherche se déterminent à son secrétariat international à Londres. Aucun président d’AIF ne pourrait peser en faveur de telle ou telle entité, ce qui réduit à néant la thèse de l’auteur.

L’attitude des ONG par rapport à la présence d’entreprises étrangères dans tel ou tel pays est très variable. La politique constante d’AI est de ne pas demander à une société d’investir ou de ne pas investir dans un pays ou de le quitter. Certaines ONG font par exemple pression pour que les sociétés étrangères n’investissent pas au Soudan ou, si elles y sont déjà, désinvestissent. D’autres comme AI privilégient le dialogue avec les investisseurs pour peser sur leur comportement sur place. Le sujet est complexe et M. Christophe a le droit de défendre la première option par rapport à la seconde. Mais il lui appartenait d’informer complètement ses lecteurs en leur expliquant la politique générale d’AI, qu’il connaît, au lieu de relier de façon gratuite et arbitraire le comportement d’AIF à l’activité professionnelle d’un de ses membres.

L’auteur met également en cause notre spécialiste sur la Birmanie, Mireille Boisson. Sous son impulsion AIF travaille depuis longtemps en faveur des prisonniers d’opinion, dont Aung San Suu Kyi, et de nombreuses autres victimes de la répression dans ce pays. Comme Francis Perrin, elle bénéficie de toute la confiance de notre section et de notre siège international face à ces accusations infondées et gratuites.

Geneviève GARRIGOS Présidente Amnesty International France

PRÉCISION DE BAKCHICH

Le droit de réponse de Mme Garrigos, présidente d’AIF est encore plus inquiétant pour la crédibilité globale de son ONG que le contenu de l’article publié le 5 juillet dans Bakchich.

La bienveillance envers le rôle de Total en Birmanie affichée par des membres éminents de la section française serait donc conforme à la ligne de conduite adoptée par le siège d’AI à Londres, sans que Paris ait eu la moindre influence, alors que Total est une entreprise française.

Mme Garrigos nous explique que l’attitude de l’ONG à l’égard des entreprises est déterminée par ses propres enquêtes : . « (…) cela suppose qu’AI dispose d’éléments vérifiés par son siège international ». Dans le cas birman, cela implique soit que depuis 1992, date de la signature par Total du contrat Yadana avec la junte birmane, le siège londonien ne dispose d’aucune information, soit que les éléments parvenus à sa connaissance ne justifient ni critique ni condamnation …

Voilà qui est surprenant alors que les représentants légitimes du peuple birman (les élus de 1990 au sein du gouvernement en exil) ainsi que Mme Aung San Suu Kyi n’ont cessé de dénoncer la présence de Total en Birmanie, complice de graves violations des droits de l’homme et devenu depuis la mise en service de son gazoduc la principale source de devises du régime. Nombreux sont les observateurs à considérer que si Total n’avait pas investi dans les années 90, la junte serait tombée, asphyxiée économiquement. La question de fond que pose l’attitude d’AI dans le cas Total en Birmanie : En quoi une ONG sait-elle mieux que les Birmans ce qui leur convient ? Pourquoi AI contredit-elle ceux qu’elle défend ?

À lire ou relire sur Bakchich.info :

- L’article incriminé

Total travaille son Amnesty Pour défendre son image, Total ne s’est pas contenté des prestations tarifées du Docteur Kouchner ; le pétrolier cultive une relation de qualité avec la section française d’Amnesty International. C’était d’autant plus facile que pendant des années, le (…)

- Total et la Birmanie

Les leçons du docteur Kouchner dans « Le Monde » Notre ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, s’apitoie dans « le Monde » de lundi sur le sort du pauvre peuple birman. Mais pas un mot sur le rôle du groupe Total, premier partenaire financier de la (…)

Les démocrates birmans veulent séquestrer Total En 2008, les démocrates birmans et le réseau de militants européens qui les soutiennent entendent bien mener la vie dure à la junte militaire au pouvoir ainsi qu’au pétrolier Total.


Quant deux messages sur la page de discussion on arrivent à être plus long que l'article principale c'est qu'on a plus grand chose de sérieux à dire. C'est un vieux proverbe wikipédien que je viens d'inventer. ;-) 14 juillet 2008 à 21:04 (CEST)[répondre]

"Secrétaires général"[modifier le code]

Pourquoi cet étrange pluriel dans le titre de la section ? Mini.fb (d) 25 mars 2011 à 10:15 (CET)[répondre]

Source bizarre[modifier le code]

La source ISM, me semble un peu étrange (je n'ai pas bien lu, mais ça commence mal).--Jimmy-jambe (discuter) 10 janvier 2015 à 13:51 (CET)[répondre]

Effectivement. Aucune source notable pour corroborer ceci. --Arroser (râler ?) 10 janvier 2015 à 14:37 (CET)[répondre]

La NVA exprime son incompréhension et le député MR Alain Destexhe demande alors une enquête sur le rôle joué par Amnesty International[modifier le code]

Dans cet article, il est question d'Amnesty International, pas Amnesty International Belgium. Un tel paragraphe consacré à Alain Destexhe et la NVA, c'est uniquement de la pub consacré à cet individu et ce parti. --H2O(discuter) 30 août 2016 à 21:52 (CEST)[répondre]

Logo Amnesty[modifier le code]

Bonjour Notification ‎Telluride749 :, merci pour ce logo détouré d'Amnesty. Il a été ajouté aujourd'hui sur Commons, alors qu'il n'est pas libre de droit. Je pense en outre que la couleur jaune est un signe important de la charte graphique de l'ONG, reprise partout, et qu'on devrait rester au premier logo. Bonne journée, Hypsibius (d) 29 novembre 2019 à 16:02 (CET)[répondre]

Notification Hypsibius : Un logo ne rencontre pas le seuil de l'originalité, il est donc du domaine public. Donc, ce logo a une licence appropriée.Telluride749 (discuter) 29 novembre 2019 à 16:15 (CET)[répondre]

Rapport de l'AEGE : source douteuse[modifier le code]

Je trouve le rapport de l'AEGE comme source principale sur le financement d'Amnesty vraiment douteux sur plusieurs points :

  • Il ne cite aucune source sur la plupart des points, comme notamment "[George Soros] a déjà investi plus de 100 millions de dollars

au sein de l’ONG"

  • Il reprend des organisations comme NGO Monitor comme source, organisation connue pour être pro-israélienne et très conservatrice
  • Il reprend des arguments connus de l'extrême droite contre George Soros : " George Soros, financier milliardaire américain, actif militant contre la France". (ref)

Par ailleurs, je m'étonne de voir le nom de son auteur mis en avant, ca ressemble à de la publicité. Je propose de remplacer cette source par les sources mentionnées dans ce même rapport, ou de trouver de meilleures sources sur les critiques sur le financement d'Amnesty --Duh (discuter) 28 janvier 2020 à 20:51 (CET)[répondre]

Il n'existe pas d'informations sur le rapport d'AI critiquant l'Ukraine et dédouanant les attaques russes sur des bâtiments civils. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2001:861:5E45:91B0:B00F:EB11:7221:4063 (discuter), le 15 août 2022 à 17:54 (CEST)[répondre]

Source primaire[modifier le code]

Bonjour @Thontep

Pourriez-vous m'expliquer ce commentaire ? : 'Remplacer une source secondaire par une source primaire est une très mauvaise idée. La notoriété du point de vue est, dans tous les cas, insuffisamment démontrée.'

La source secondaire mentionne l'interview en question, car elle est divisée en deux parties. Il est possible que j'aie choisi le mauvais lien de cette source secondaire à l'époque.

J'ai ensuite ajouté une source primaire qui est acceptable ici, à condition de simplement relater les faits sans y apporter d'ajouts supplémentaires.

Crdlt

Riad Salih (discuter) 1 janvier 2024 à 15:27 (CET)[répondre]

El Moudjahid, comme source secondaire. Riad Salih (discuter) 1 janvier 2024 à 15:32 (CET)[répondre]
Bonjour Notification Riad Salih :, j'ai supprimé ce paragraphe [1] basé sur une simple source primaire, un entretien. Si je reviens dans l'historique de l'article, nous voyons que vous avez ajouté ce passage le 24 mars 2023 [2] en prenant pour source lematindalgerie.com. Or cette référence comme le fait remarquer Notification Tarek lb : [3] qui supprime le passage « ne fait aucun mention des critiques mentionnés » ou plus exactement ne parle absolument pas de « jeunes enfants palestiniens emprisonnés dans les prisons israéliennes... ». Donc, effectivement si votre référence réelle est elmoudjahid.dz, il faut citer celui-ci. Sur le fond, néanmoins, on pourra tout de même se poser la question de WP:PROP vis-à-vis d'Amnesty International, puisque que seulement une phrase dans cet article est consacrée à cette organisation. Il aurait davantage de pertinence dans un article ou dans un chapitre consacré à la liberté de la presse et des médias en Algérie pour indiquer le point de vue gouvernemental sur ces sujets. --Thontep (discuter) 1 janvier 2024 à 17:36 (CET)[répondre]
Comme je l'ai déjà expliqué, j'ai sûrement confondu les liens, car l'interview est divisée en deux parties publiées à des dates différentes, avec un délai de 10 jours entre elles. Cette section est dédiée aux critiques. La critique a sa place et je ne vois pas vraiment d'opposition à WP:Prop ici. L'un n'empêche pas l'autre, on peut ajouter les critiques d'Amnesty et les réponses à ces critiques. Donc, je suis en faveur du rétablissement du passage. Cordialement. Riad Salih (discuter) 1 janvier 2024 à 17:53 (CET)[répondre]